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Politique RSE: faire le bien est bon pour les affaires !

Engagement des salariés, productivité, qualité de vie au travail… La politique de responsabilité sociale ou sociétale, des entreprises (RSE) est devenu un défi stratégique incontournable des entreprises.

De la même façon que les consommateurs sont de plus en plus préoccupés par l’origine de ce qu’ils achètent, les collaborateurs attendent maintenant plus de leur employeur qu’un salaire.

« Responsabilité sociale de l’entreprise » nous vient de l’anglais Corporate Social Responsibility (CSR). C’est l’ouvrage de l’américain Bowen en 1953 intitulé « The social responsibilities of the businessman »(1) qui pose pour la première fois les fondements de la RSE.

Pourquoi ce principe est-il né aux Etats-Unis ? Parce qu’il fait appel à l’éthique morale du dirigeant d’entreprise (fortement influencée par le protestantisme), basée sur des préceptes bibliques : d’une part une gestion responsable de la propriété qui respecte la destination universelle des biens (ne pas nuire aux autres) ; et d’autre part en s’imposant de venir en aide aux personnes démunies (principe de charité).

La RSE, qu’est ce que c’est ?

D’après le Ministère de la Transition écologique et solidaire(2),  qui a posé la définition il y a tout juste un an, c’est un « concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire ».

Autrement dit, il s’agit de « la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable ».

La RSE, mais pourquoi ?

Optimiser la productivité

Selon la troisième édition du baromètre RSE Ekodev(3), près de la moitié des salariés – 40 % – font de la RSE une condition de performance.

La même étude révèle que 70 % des salariés voudraient être davantage impliqués dans la politique RSE, que ce soit pour être en phase avec ses valeurs ou les faire progresser.

Pour être engagés, les collaborateurs doivent donc être concernés par le projet social de l’entreprise : engagements écologiques, fondation, octroi de jours de congés pour faire du coaching ou donner du temps à une association donner du temps à une association, choix de fournisseurs responsables et/ou locaux…

L’importance de la RSE est encore plus grande pour les « millenials ». Dans la génération Y, ils sont 79% à la placer comme critère de leurs recherches d’emploi, et 76% à la placer au dessus du salaire.

La nouvelle génération, en quête de sens dans tous les aspects de sa vie, va donc changer l’ADN des entreprises qui doivent et devront s’y préparer ; ce d’autant plus qu’un collaborateur fier des actions de son entreprise est plus à même de s’y investir.

Dynamiser sa marque employeur auprès des parties prenantes

« Dans une corporation, les parties prenantes sont des individus et des groupements qui contribuent, volontairement ou non, à la capacité de créer de la valeur et de l’activité et qui en sont ses bénéficiaires potentiels et/ou en assument les risques. »(4)

Il s’agit des collaborateurs, actionnaires, fournisseurs, clients / consommateurs, syndicats, pouvoirs publics…

Les entreprises s’engageant dans cette politique jouent le jeu de la transparence avec leurs parties prenantes et tiennent compte de leurs besoins. Les relations entre elles sont plus fiables et les interactions entre elles, plus saines et pérennes.

À l’heure où certaines entreprises sont critiquées pour leur impact environnemental et social négatif, l’intégration des principes de la RSE permet de les faire apparaître comme contributrices d’une société équitable et responsable, accroissant leur capital confiance.

Ouvrir de nouvelles opportunités

Ce capital confiance généré favorise l’innovation, et la différenciation de ses concurrents, et par conséquent la valeur ajoutée auprès de ses clients.

L’accès à de nouveaux marchés sélectionnant les entreprises sur des critères ESG (environnement, social, gouvernance) est également facilité.

Ce même capital permet donc l’accès privilégié à des financements et subventions d’organismes publics et privés grâce à l’image positive de l’entreprise.

Réaliser des économies

Avec une image positive, plus besoin ou presque de campagnes publicitaires ou de communication onéreuses !

La RSE est l’opportunité d’utiliser gratuitement la force des médias traditionnels grâce à ses actions positives.

Par ailleurs, l’entreprise réalise des économies liées aux dépenses d’énergies : eau, matières non renouvelables…

Enfin, la RSE permet d’anticiper et de mieux maîtriser les risques liés à la réputation et donc au business de l’entreprise.

L’expression « 3P » – People, Planet, Profit -, plus imagée, permet de résumer l’intérêt de la politique RSE : « Travailler pour les personnes – les parties prenantes -, pour faire du profit, tout en préservant la planète. »

Des outils innovants, sans impact organisationnel intégrant une démarche locale et éco-responsable au service du bien-être sont des réponses particulièrement adaptées aux enjeux RSE et QVT.

C’est en ce sens que le chatbot d’entreprise Cyconia a été conçu : au service de la QVT, dans une démarche locale et écoresponsable.

C’est en s’occupant du bien-être des collaborateurs, du lever au coucher et de la tête aux pieds, que Cyconia participe à intégrer dans ses actions les préoccupations en matière sociale et environnementale.

La RSE n’est pas la clef qui résoudra les problèmes du monde.

En revanche, c’est un levier qui permet de placer le curseur vers une économie plus responsable, et donc davantage créatrice de valeur.

1.Howard R. Bowen, « The social responsibilities of the businessman », Broché, 2013
2. Ministère de la transition écologique et solidaire, La responsabilité sociétale des entreprises, 6 décembre 2016
3.Baromètre RSE : Salariés et entreprises responsables Troisième édi,on Novembre 2017
4. Pascal Fabre,Sabine Sépari,Guy Solle,Hélène Charrier,Catherine Thomas, DSCG 3 – Management et contrôle de gestion, Dunod, 15 oct. 2014



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